Allocution de Marxezerberg

C'était une resplendissente après-midi et la Place publique de Naméa étaient bondés de sympatisants de Marxezerberg et de curieux quand ce dernier arriva. Avec son éternel style populo-paternaliste, il se leva, sur une simple caisse de bois, et entama un discours soigneusement préparé

Mesdames Messieurs,
Jeunes et moins jeunes,

Très chers concitoyens habitant la resplendissante ville de Naméa,

Merci d'être venus ici en si grand nombre. Je suis ravis de prendre quelques minutes pour, si vous me le permettez, tachez de vous intéresser aux futures élections et, évidemment, pour vous entretenir de ma personne et de mes projets pour Naméa.

Je tiens tout d'abord à féliciter mon estimé collègue, Monsieur Xanocas Peron, pour son discours qui, bien que d'une verve... originale et aux propos parfois provocants, a contribué au fantastique excercice démocratique. Il a proposé certaines idés convaincantes pour Naméa et a aussi habilement su tenté de diffamer ma personne pour se créer du capital politique. Vous en conviendrez, cela n'est cependant certe pas assez pour devenir Akamai.

murmures dans la foule peu habitué au style direct d'Olivier

En mon sens, un akamai est tout sauf un architecte. C'est un harmonisateur qui permettra de canaliser les engagements, c'est un exécuteur qui s'assurera de l'application des vouloir de la chambre. C'est quelqun qui fera le changement avec vous et non pour vous. On m'accuse d'avoir un style lutéalien. Soit. Reste que je ne veux pas me présenter comme un homme fort à la lutéalienne pour ce poste. J'ai adopté et je suis tombé en amour avec le système politqiue dawaien. Et ce système, c'est celui de la démocratie directe. Cela implique une collégialité et une préséance du législatif (populaire) à l'exécutif (représentatif). Cela, Monsieur Peron ne l'a pas compris. Il vous propose des engagements qu'il appliquera seul tête baissé. Je vais vous proposer des pistes de réflexion pour dévelloper Naméa et Dawa ensemble.

applaudissements de la foule. Olivier, qui était inquiet face à ce nouvel auditoire, sourit et reprit

Je l'ai déja mentionné, la première chose que je veux faire est de doter Naméa d'une cadastre. En parallèle, je veux vivifier l'assemblée locale car c'est de là que doit venir le changement, pas du bureau de l'akamai. Je veux inciter les citoyens à s'y impliquer et y ammener des échanegs d'idés pas que des lois prémachés que les Naméens devront ingérer sans se quetsionner. D'ailleurs, je me permet de mettre en doutes la capacité de mon rival à vivifier l'assemblée (si il en comprend un jour l'importance) puisqu'il a été jusqu'à ce jour plus actif à l'assemblée de Vatapui qu'à celle de Naméa.

Ricannement dans la foule

Enfin... j'ai aussi conscience du problème de la pauvreté à Naméa. Comme Monsieur Perron, je veux stimuler l'emploi par des partenariats public-privé et des emplois municipaux mais ce ne sera pas mon seul cheval de bataille pour lutter contre la pauvreté, moi. Ce phénomène complexe a plusieurs causes. Je prévois donc ausi sugérer aux Naméens la construction de plusieurs habitations à loyer modique, l'éalboration d'un code d'éthique des entreprises et la mise sur pied d'un fond alimentaire.

Naméa étant la capitale de Dawa, elle doit resplendir pour montrer le dynamisme dawaien. En plus d'isntaurer des équipes sportives, je vais tenter de travailler, avec vous, à l'élaboration d'une fierté naméenne. Les chemins pour y arriver sont multiples : temple de la renommée des garnds naméens, festivals, lieux commémoratifs, etc.

Qui plus est, je vous propose que nous nous attaquions à une prioritée totalement oubliée à Dawa, l'éducation. Celle ci n'est pas pris enc harge par le gouverneemnt national et les collèges privés se font discrèt. JE compte bien proposer la nationalisation de ce secteur à l'Aukana. Et si cela en passe pas ? Qu'à cela ne tienne ! Naméa a elle-même els pleins moyens de créer son système d'éductaion municipale.

J'ai aussi milles autres projets pour Naméa mais il serait bien futile de les nommer. Car, avantage de la démocartie directe, vous pouvez tous soumettre les projets qui vous tiennent à coeur. L'Akamai ne doit pas être celui qui a des projets que vous aimez mais celui qui vous aidera à implanter les projets que vous aimez unne fois que vous les aurai proposé. Ainsi, je ne me battrai pas à coup de projets ou de remarques sur l'inexpérience de mon concurent (il attaque mon âge) mais bien à coup d'idée et de philosophie du pouvoir.

L'assemblée locale et le bureau de l'akamai de Naméa sont moribonds. Mais, nosu pouvons y remédier. Nous pouvons changer les choses ensemble en votant Olivier Marxezerberg comme akamai... et surtout en se pointant à l'assemblée locale !

nouvelle rigolade plsu généralisé

Naméa est une ville magnifique mais milles pustulent cachent sa beauté. Il est tempd de nous atteler à crever ces abcès. Nul ne sert de réappliquer une auterc ouche de projets à la Peron sur les blessures, il afut se regarder dans un miroir et reconsidérer le pouvoir politique. Nous avons la chance d'avoir la démocratie directe, profitons-en ! Pourtant, cette élection ressemble à s'y méprendre avec ceux d'un système représentatif (et je sais de quoi je parle). Mettons fin à cela.Je le répête, dans une démocartie directe, l'exécutif n'est qu'un exécuteur, un régularisateur et un harmonisateur.

Ainsi, je ne me présente pas comme l'akamai qui va isntaurer milles réformes même comme celui qui, avec vous, va faire évoluer sa ville d'une façon citoyenne en utilisant à fond les fantastiques outils que nous donne notre système direct et collégialiste.

Ça vous tente ? Alors venez avec moi pour tout changer. Ensemble.

L'élan réthorique d'Olivier déclencha finalement un torrent d'applaudissement et la foule se mit à scander Marxezerberg Akamai ! Marxezerberg Akamai !