Première assemblée

Vous gêrez l'assemblée. Cela fait de vous un simple exécuteur et vosu devez donc suivre la volontée publique qui n'est certainement pas de paralyser ladite assmeblée pendant deux jours sans débats.

Baillant à de nombreuse reprise durant cette échange, Étienne-Pascal envoya un signe au Président qu'il désirait parlé.

La loi dont vous me parler une parfaite marque d'intrusion dans les affaires municipales, il appartient aux institutions d'une ville et a ses citoyens d'évaluer l'impacte des entreprises sur l'environnement. De plus, je crois qu'un vote sur l'établissement d'entreprises privés ou d'état dans un milieu devrait être soumit a un vote si et seulement si les citoyens le réclamment.

Heureusement surprise par ce nouvel apport au débat, Erica fit chorus aux propos de monsieur Tachereau : Ce monsieur vient justement d'exprimer ce que j'ai argumenté tout à l'heure ! Merci de relever également le risque d'ingérence dans les affaires des villes(Elle se tue et fit un nouveau clin d'oeil à Paricé. Comme quoi, ce dernier avait eu raison de ne pas céder à l'insistance d'Olivier)

Madame Erica semble se chercher des alliés n'importe ou. Ce.. monsieur comme vous dite.. vient de s'opposer tout bonnement à ce projet, du moins à son appliquation systématique, que ce soit par l'état fédéral ou les villes.

Maintenant, je vois mal comment vous pouvez parlez d'intrusion aux affaires municipales alors que nous n'avons aps de sérieuse séparation des pouvoirs. Sur ce, je n'argumenterai pas ma position, tout est dit depuis fort longtemps.

Je ne suis pas contre ce projet de loi, je suis seulement contre l'application obligatoire d'un vote, à la place, nous pourrions demander aux entrepreneurs de faire une allocution de leur projet devant l'assemblée de la ville dans laquelle ils veulent s'implanter, mais il faudrait déterminé une échelle de taille des entreprises. Nous ne devrions pas demander des votes ou des consultations sur chaque dépanneurs qui ouvrent à Dawa. Toutefois, il se pouvoir revient encore ausx intsitutions municipales.

Erica fixa Olivier un moment et lui répondit avec son éternel sourire : Monsieur, seul le bon sens prime, pour cette affaire. Puis, se tournant vers Etienne : monsieur, si ce projet de loi, le vote sera rendu obligatoire, alors qu'il suffit de laisser, en effet, toute latitude aux villes sur ce point. Soyons souple et ne légiférons pas pour un rien. Je maintiens que je ne voterai pas cette loi, qui me paraît inutile.

Mais ceux sont bien les villes qui ont l'pouvoir ici ... Moi j'trouve ca utile, après chacun son choix. L'texte sera mis au vote ce soir, et j'demande à Olivier d'bien vouloir cesser d'parler alors qu'il n'en est pas autorisé. J'suis Président d'l'Akamaï, qu'cela vous plaise ou non. Vous avez r'fusé d'vous présenter pour devenir Akamaï, assumez vos choix et vos erreurs, et laissez travailler ceux qui ont été élus !

Je crois que la chambre devrait voté le projet de loi qui devra ensuite être approuvé par chacune des villes, ainsi il n'y aurait pas d'intrusion.

Bon, le vote étant en cours sur ce sujet, on peut sans doute passer au point suivant. Je propose donc de confronter le décret de notre ténamoa au projet de loi de l'akamai de Naméa. L'Aukanaka pourra statuer sur celui qui doit être appliqué.

Je pense que vous pouvez faire confiance à notre président en exercice pour savoir ce qu'il convient de faire, vous savez. Il appartient aux akamai et au président en exercice de l'aukanaka de définir les ordres du jour et de gérer les débats.

Olivier, dernière fois, la prochaine c'est la porte ! Vous êtes bien gentils d'vouloir faire avancer l'Aukanaka, mais c'que vous proposez n'est pas à l'ordre d'cette Assemblée, donc ca attendra, qu'ca vous plaise ou non !